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Selon certaines
sources généralement bien informées
il parait que si l'on met bout à bout chacun de ces 3 timbres on obtient l'image de chaque animal tout entier.
J'ai donc pris 2 timbres de chaque espèce, une paire de ciseaux et un pot de colle, et voyez le résultat: ça colle pas ! Il manque un bout de chaque animal...
Christian Broutin, le créateur des timbres Allosaure, Girafe et Papillon, me signale que mon correspondant n'aurait pas du se servir de ses ciseaux, la partie non visible des animaux passe sous la marge des timbres, si on coupe les marges il en manque, évidemment. Cinquante millions d'insectes: tel est le nombre de spécimens que le Muséum national d'Histoire naturelle conserve dans ses collections. Ce patrimoine national figure parmi les trois plus importants au monde. Depuis Lamarck premier responsable en 1793, de la collection d'insectes, mais surtout depuis Latreille, en 1830, fondateur de l'entomologie moderne, le Muséum n'a cessé d'enrichir ses collections. Le laboratoire d'entomologie en assure la conservation, mais aussi la gestion scientifique. En effet, il n'en est pas seulement le gardien; ses collections constituent une source fondamentale pour la connaissance de la multiplicité des espèces. Les chercheurs qui y sont attachés poursuivent, entre autres objets d'investigation, l'étude des phénomènes de l'évolution et de la formation des espèces qui se sont produits depuis les temps géologiques. Il appartient au Muséum national d'Histoire naturelle de faire connaître au public le monde des insectes, lesquels ne jouissent pas d'une grande notoriété. La philatélie lui offre aujourd'hui l'occasion de mettre en valeur une de ses pièces de collection. Agrias sardanapalus, qui est représenté sur le timbre-poste, appartient, comme tous les papillons, à l'ordre des Lépidoptères. Il fait partie du groupe des Rhopalocères, ou "papillons de jour", qui ne représentent qu'un dixième de tous les Lépidoptères, les autres étant souvent très petits (les mites) ou nocturnes. C'est sous les latitudes tropicales, en Amazonie, que vit le sardanapale. Sa chenille, de couleur terne, porte une paire de cornes sur la tête et deux longues queues. A l'état adulte, les papillons ne consomment que des substances liquides: le nectar des fleurs reste leur principal aliment. Cet insecte se caractérise, comme tous les papillons dits" de jour", par des couleurs souvent vives et des antennes se terminant en massue. Au repos, les ailes sont redressées au-dessus du corps. Comme les autres espèces de la grande famille des Nymphalidae (plus de 5 000 espèces), le sardanapale ne marche que sur quatre pattes (les insectes en ont habituellement six), car les pattes antérieures sont atrophiées. Chez le mâle, celles-ci sont garnies de longues soies denses, comme un pinceau. Certaines espèces sud-américaines, très riches en couleurs, sont vivement recherchées par les collectionneurs. Voilà l'occasion pour les lépidoptérophiles-philatélistes, de faire d'une pièce deux coups. |
Mots-clés spécifiques représentatifs de l'image
papillon |