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Ossuaire de Douaumont
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Premier jour le Samedi
à Douaumont (Meuse)
Vente générale le Lundi 6 mars 2006
Retiré de la vente le Vendredi
Valeur faciale : 0,53 € - Voir les tarifs au 6 mars 2006
Affranchissement de la lettre de moins de 20g pour la France
Timbre horizontal
Nombre de dents : 27x20 - dentelure 13¼ Dentelure calculée: 13,50 x 13,33
CouleursLes couleurs indiquées ici sont celles habituellement précisées par le catalogue Marianne,
toutefois la reproduction de la couleur est ici doublement altérée: d´abord par le scanneur
qui déforme un peu les couleurs, puis par votre propre écran d´ordinateur qui ne restitue
pas fidèlement la couleur initiale de l´image.
Certains écrans offrent la possibilité de régler les couleurs (luminosité, contraste, facteur gamma, etc.) Pour une bonne approche des couleurs des timbres se référer à l´ouvrage«Timbres de France - Couleurs et nuances» par G. Bermejo et J.F. Brun Sur ce site vous avez, entre autres, la possibilité de lancer une recherche par couleurs de timbres : bleu , vert , gris , beige et noir
Imprimé en taille douce rotative 6 couleurs
à 48 timbres par feuille, bloc ou carnet
Deux bandes phosphorescentes
Les chiffres du tirage et des ventes sont inconnus
Le timbre à date
- Création : Marie-Noëlle Goffin
L'ossuaire de Douaumont réunit dans la mort 130.000 soldats anomymes français et allemands victimes de la guerre de 1914-1918 lors de l'effroyable bataille de Verdun (21 février-19 décembre 1916) qui, sous une pluie d'obus quasi continue pendant presque un an, fit 700.000 victimes (morts, blessés ou disparus) parmi les belligérants des deux côtés.
La bataille de Verdun fut une bataille de la Première Guerre mondiale qui eut lieu du 21 février au 19 décembre 1916 près de Verdun en France, opposant les armées françaises et allemandes. Conçue par le général Erich von Falkenhayn, commandant en chef de l'armée allemande, d'après la version qu'il en donna dans ses Mémoires, comme une bataille d'attrition pour «saigner à blanc l'armée française» sous un déluge d'obus dans un rapport de pertes de un pour deux, elle se révélera en fait presque aussi coûteuse pour l'attaquant : elle fit plus de 714 231 morts, disparus ou blessés, 362 000 soldats français et 337 000 allemands, une moyenne de 70 000 victimes pour chacun des dix mois de la bataille. On peut noter que selon les travaux historiques récents, notamment ceux de l'historien allemand Holger Afflerbach, l'objectif allemand était plus simplement de prendre le saillant de Verdun, la version d'une bataille d'attrition étant une justification inventée après-coup par Falkenhayn pour masquer son échec.
C'est la plus longue et l'une des batailles les plus dévastatrices de la Première Guerre mondiale et de l'histoire de la guerre. Verdun apparaît comme le lieu d'une des batailles les plus inhumaines auxquelles l'homme se soit livré : l'artillerie y cause 80 % des pertes, le rôle des hommes y consiste surtout à survivre - et mourir - dans les pires conditions sur un terrain transformé en enfer, tout cela pour un résultat militaire nul. Elle se termina par un retour à la situation antérieure. Elle n'en constitue pas moins une grande victoire défensive de l'armée française, jugée a posteriori par les Allemands comme de même nature que la victoire de l'armée rouge dans la bataille de Stalingrad. Parallèlement, de juillet à novembre, l'armée britannique ainsi que l'armée française seront engagées dans la bataille de la Somme, tout aussi sanglante. De plus, du 4 juin au 20 septembre, l'armée russe sera engagée dans l'offensive Broussilov, la plus grande offensive sur le Front de l'Est de l'armée russe de toute la guerre qui contraindra l'état major allemand à retirer des divisions sur le front de l'Ouest pour les envoyer à l'Est, ce qui contribuera à alléger une partie de la pression allemande sur Verdun. Alors que, côté allemand, ce sont pour l'essentiel les mêmes corps d'armée qui livreront toute la bataille, l'armée française fera passer à Verdun, par rotation, 70 % de ses Poilus, ce qui contribua à l'importance symbolique de cette bataille et à la renommée du général Pétain qui en commanda la première partie. C'est au général Nivelle que revint le mérite de l'enrayement définitif de l'offensive allemande (juin - juillet 1916), puis de la reconquête du terrain perdu entre octobre et novembre 1916 avec la récupération du fort de Douaumont, aidé en cela par son subordonné le général Mangin. Verdun sera, comme la Somme, une terrible leçon que certains théoriciens militaires allemands sauront comprendre. L'immobilité du front, malgré les moyens engagés, est due à l'absence de moteur : en 1940, soumise au feu motorisé des Panzers, Verdun tombera en 24 heures. D’après Wikipédia
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D’après Wikipédia |